Confiance en soi et confiance en général

La confiance en soi et la confiance en général : pour ou contre ?

Si tu aimes l’efficacité, la conclusion de cet article est “la confiance, c’est super, on vote pour”.

Si tu aimes les chemins de traverse, rire un peu sous cape, te poser quelques questions et découvrir avec un étonnement feint la conclusion que j’ai déjà spoilée : lis cet article, tu vas kiffer !

Tu connais déjà l’inverse de la confiance ?

La confiance, c’est un peu comme la positive attitude : c’est danser la vie, chanter la vie, dire oui à la vie !

L’inverse, c’est … la TROUILLE !

Imagine à présent deux situations :

  • Sandra Kim qui chante à tue-tête dans un micro
  • Scooby-Doo et Sammy

A ton avis, qui respire le plus le succès ?

Remarque, vu ma passion pour le karaoké, je biaise peut-être cet exemple avec la présence du micro.

Imaginons alors Sandra Kim qui chante à tue-tête sans micro.

Et Scooby-Doo et Sammy avec un micro à la main.

Ben voilà, c’est pas le micro qui fait la différence mais le mindset ! D’ailleurs, perso, quand j’ai pas de micro pour chanter, je braille dans une cuillère et vraiment, ça amplifie ! Essaye, tu verras bien. Tout est une question de mindset !

Tu veux remporter l’Eurovision ? Commence par penser que tu vas remporter l’Eurovision !

(Oui, tu peux remplacer le mot Eurovision par tout autre concept qui te semblerait moins ringard et plus approprié pour toi).

Laurence brandit une bouteille de champagne comme un pilote qui a gagné une course.
Laurence pense qu'elle a remporté un Grand Prix de Formule 1.

La confiance à développer pour ne pas finir en PLS

L’idée que tu peux réussir est la bonne idée pour favoriser tes chances.

Mais sais-tu qu’il n’y a pas qu’un seul type de confiance ?

Il y a la confiance en soi, la confiance en l’autre, la confiance en la vie, la confiance en ses compétences, la confiance en ses outils,…

Par exemple, j’ai beau avoir confiance en moi, la fois où j’ai été sur une espèce de mini montagne russe à Walibi, je me suis tellement crispée en me recroquevillant sur moi-même que je me suis fait un claquage à l’épaule.

Pourtant, je savais que je n’aime pas les sensations fortes (j’ai déjà couiné en passant sous une trémie).

Mais j’ai fait confiance à mes copines qui me disaient “tu verras, c’est cool” au lieu de me fier à mon instinct qui me disait, telle Sirima dans son duo avec Goldman: “N’y vas pas”.

Car oui, en matière de confiance, ton instinct a bien sûr son mot à dire !

Et il a toujours raison !

Au fait, l’instinct, ça se joue dans les tripes, pas dans la tête !

Fie-toi à ton instinct.
Quand le monde autour de toi te dit que c'est cool, mais qu'au fond de toi, c'est la panique.

La peur a-t-elle un sens ?

Oui, bien entendu, la peur a pour vocation de nous avertir d’un danger.

Notre capacité hors norme à voir les verres à moitié vides provient d’ailleurs de là.

Notre cerveau primitif devait, à l’époque des hommes des cavernes, toujours anticiper le danger, pour des raisons de survie.

Cependant, depuis que les tigres à dents de sabre ne surgissent plus au coin des rues (et qu’aucun dodo ne prophétise plus ses “malheur à vous” en protégeant ses pastèques, les fans de l’âge de Glace comprendront), aucune raison de rester 100% du temps en mode “vigilance maximale”.

La peur sert à nous préserver des dangers tel le dodo dans l'Age de glace.
Depuis que les tigres à dents de sabre ne surgissent plus au coin des rues, aucune raison de rester 100% du temps en mode “vigilance maximale”.

Si vous êtes hyper stressé tout le temps, vous avez probablement un petit coup à jouer en identifiant vos peurs et en les traitant une par une.

Quand ton mental te joue des tours...

La championne toutes catégories des croyances limitantes ayant pour conséquence d’infliger la PEUR, c’est… ta mère !

Ta mère, son job, c’est de te préserver dans du papier-bulles jusqu’à tes 25 ans au moins (et plus, si possible).

La championne toutes catégories des croyances limitantes ayant pour conséquence d’infliger la PEUR, c’est… ta mère !
La championne toutes catégories des croyances limitantes ayant pour conséquence d’infliger la PEUR, c’est… ta mère !

Toi aussi, ta mère t'a fait porter une cagoule quand tu étais petite pour que tu n'aies pas froid !

Si t’es plus jeune que moi, une cagoule est comme un bonnet qui entoure TOUTE TA TÊTE (oui, tu vois déjà où est le problème).

La cagoule t’empêche d’avoir froid aux oreilles, sur une partie des joues, ton menton et ton front. Le nez reste dehors, on n’est pas en mode hold-up, faut quand-même pas pousser.

Mais le fait que cette cagoule te gratte le visage et la honte que ça t’a filée, ça, on s’en fout des dégâts émotionnels, ce qui compte vraiment pour ta mère, c’est que tu ne chopes pas de rhume !

Ta mère, elle peut te faire visualiser ton premier trajet en voiture après que tu aies eu ton permis en mode aventure épique digne d’un épisode sanglant de Game of Thrones (oui, le danger peut aussi provenir du ciel).

Elle peut te donner une vision de l’entrepreneuriat qui ressemble à une vie mi-SDF, mi-molette (aucune idée de pourquoi j’ai écrit ça, mais je le laisse, j’aime bien).

Bref, ta mère, elle peut te faire visualiser SES images mentales à elle, réduisant à néant en moins de 10 secondes ton plan financier, les conseils de ton comptable, ta stratégie marketing et les compétences que tu as développées depuis 10 ans !! Tout ça, pour te filer SES peurs à elle !

La phrase type pour cela est : “T’as pas peur de ne pas avoir de clients ?”, suivie directement par “Tu vas vivre de quoi ?” (prononcé avec une voix pleine de sanglots retenus et l’oeil humide).

Mais bon, on lui pardonne volontiers à ta mère, car c’est son job de te protéger.

Après, il parait que certaines entrepreneures ont des mères qui incarnent la confiance et qui leur disent : “Vas-y cocotte, je crois en toi”.

Dans ce cas, elles ne cliquent même pas sur cet article !

Mais c’est bon de savoir aussi que ça existe !

 

Mais revenons-en à notre mental

Notre mental nous joue des tours tout le temps :

  • Quand on lui fait visualiser le pire, il y croit.
  • Quand on lui fait visualiser un truc, il veut l’obtenir.

Tout ça pour te dire : fais gaffe à ce que tu visualises car tu pourrais l’obtenir !

Notre mental nous joue des tours tout le temps.
Fais gaffe à ce que tu visualises car tu pourrais l’obtenir !

Pour te donner un exemple choc : si tu répètes en permanence que tu ne veux pas ressembler à ta mère, tu vas finir par lui ressembler étrangement (car ton inconscient ne comprend pas la négation).

Oui, si tu es dans ce cas, c’est ballot de l’apprendre seulement maintenant…

Pour résumer, apprends dès maintenant à ne visualiser que ce que tu veux vraiment !

Faire confiance aux autres

La survie de l’espèce humaine repose d’une part sur sa capacité à percevoir le danger, d’autre part sur sa capacité à faire partie du groupe, pour se sentir en sécurité, protégé.

Nous devrions naturellement accorder notre confiance à nos semblables.

Pourtant, nos semblables nous déçoivent et nous blessent encore bien.

Ceci m’amène à évoquer 2 bonnes nouvelles :

1. Ces blessures sont des opportunités de résoudre quelque chose d’utile pour notre développement futur.

Car si tu te sens tout le temps trahi ou mis en situation d’injustice ou exclu,… et que le schéma se répète, c’est qu’il y a quelque chose à résoudre !

Et une fois cela fait, ta vie sera plus belle !

Ca marche, je peux te l’assurer car on a déjà coaché des milliers de fois ces thématiques et ça change tout pour nos clients.

Donc ces blessures sont des cadeaux.

2. Il est possible de récupérer les plumes perdues dans l’aventure.

Là aussi, ça marche d’enfer !

Quelle que soit la souffrance.

Quelles que soient les plumes perdues (confiance, dignité, envie d’entreprendre,…).

Quelles que soient les émotions encore présentes.

Il est possible de récupérer ses plumes.

Réécrire l’histoire.

Déposer les armes.

Pour reprendre le cours de sa vie.

Grandie et plus légère.

Ce qu'en pensent nos clients ?

« Libérateur, ça permet d’avancer moins lourd. »

« Des réponses en plus auxquelles on ne s’attend pas initialement. »

« C’était juste incroyable cette expérience. »

Nous avons formé tellement de coachs à cette méthode rapide et efficace pour récupérer ses plules qu’il y en a certainement un près de chez toi.

C’est d’ailleurs une méthodo que nous transmettons dès le 1er jour de notre formation pour devenir coach. C’est pour dire comme elle est à la fois simple et fondamentale pour aider les autres.

Tous les coachs que nous avons formés chez Une touche de joie savent donc t’aider facilement à récupérer tes plumes perdues.

On organise d’ailleurs souvent des workshops sur la thématique !

Une fois tes plumes récupérées, il se passe quoi ?

Tu ne souffres plus et tu ne perds plus d’énergie en repensant à cette situation.

Cool, n’est-ce pas ?

 
Tous les coachs que nous avons formés chez Une touche de joie savent donc t’aider facilement à récupérer tes plumes perdues.

Cultiver la confiance en la vie

Ce chapitre sera hyper court.

Pascal Obispo l’a dit : “Le meilleur reste à venir” !

Si tu penses que le meilleur va t’arriver :

  1. Ta vie est bien plus passionnante (que si tu penses comme Astérix que le ciel va te tomber sur la tête).
  2. Le meilleur pourrait bien t’arriver (et comme dit mon pote Michaël : fais gaffe à ce que tu demandes à l’Univers, tu pourrais l’obtenir).
  3. Et si le meilleur ne t’arrive pas tout à fait comme tu l’as imaginé, au moins tu as une vie plus cool que si tu as peur de tout (pense à ta mère, depuis que tu es née, elle doit penser à la fois au papier bulle et aux cagoules).

Bref, penses positif, tu auras une vie plus belle !

La vie est bien plus passionnante si tu ne penses pas que le ciel va te tomber sur la tête.

Croire en ses compétences

Je ne peux finir cet article sans évoquer la confiance en ses compétences.

Il existe, selon moi, 2 cas de figure dans le manque de confiance en ses compétences :

  1. Le manque de confiance en soi en soi en général (et donc, en ses compétences aussi)

    Dans ce cas, fais-toi accompagner par un coach (systémicien de préférence) et ta vie va changer. Encore une fois, si tu cherches un coach systémicien près de chez toi, on peut te renseigner car c’est justement ce type de coachs que nous formons !

  2. Le manque de confiance spécifiquement en ses compétences.

    Là, la clé, c’est de pratiquer, de s’exercer, de gagner en expérience.

    La confiance, elle vient toute seule ensuite (sauf si tu es dans le cas n°1).

    C’est ce que je répète à toutes les personnes qui désirent suivre notre formation au coaching : “Tu veux devenir un bon coach, tu le seras en suivant notre module de 8 jours. Tu veux devenir un excellent coach ? Pratique, pratique, pratique !”

    Ceci ne vaut pas que pour le coaching.

    « Tu veux devenir une excellente nageuse ? »
    « Une excellente pâtissière ? »
    « Une excellente architecte ? »
    « Tu veux rentrer ton ventre ? »

    Pratique !

L’enjeu est de diriger son attention sur ce que l’on peut vraiment faire (pour pratiquer) plutôt que de ressasser qu’on n’y arrive pas bien ou pas vite.

Car même si le coaching systémique est un peu magique pour gagner confiance en soi (sans rien faire), ne négligeons pas le pouvoir du coaching classique qui te pousse à … agir !

 

Conclusion

Active le mode Sandra Kim
(Pense que tu vas gagner l’Eurovision).

Fredonne Pascal Obispo
(Le meilleur reste à venir).

Ne mets pas de cagoule à tes enfants. Ils risquent d’avoir peur de tout pour l’éternité.

Bref, la confiance, c’est super, on vote pour !

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