Cela fait quelque temps que je n’ai plus rédigé d’articles de blog fracassants (ni d’articles de blog tout court d’ailleurs).
Il est donc urgent de réparer cela !
Du coup, dans cet article, j’aborde un sujet neuf et passionnant (enfin, de mon point de vue, vous me direz le vôtre après lecture) : comment cultiver la confiance en soi en novembre ?
Mais avant toute chose, je tiens à te dire que bien que je ne rédigeais plus rien depuis quelques mois, je ne restais pas les bras croisés pour la cause !
Entre quelques essais pâtissiers peu concluants, plusieurs karaokés avec cuillères (essaye, tu verras, tu chanteras plus fort dans ta cuisine) et 2 trails (oui, seulement 2, mais c’est mieux que zéro), je faisais mon petit possible pour coacher tout le monde, écrire quelques chapitres de mon prochain bouquin et former mes élèves au coaching.
Conseil n°1 : ne te justifie pas, surtout si on ne te demande rien !
As-tu, toi aussi, tendance à te justifier ?
Les questions-clés :
- Qu’est-ce qui te pousse à te justifier ainsi ?
- Quelle serait la conséquence pour toi de NE PAS te justifier ?
- Quelle sensation se manifeste dans ton corps si tu te justifies ou si tu ne te justifies pas ?
Le besoin de se justifier peut provenir d’une peur inconsciente :
– peur d’avoir l’air fainéant,
– peur d’être un tire-au-flanc (j’adore ce mot, je le trouve intrigant),
– peur d’avoir l’air peu crédible,
– peur de ne pas être aimée
– …
Si tu parviens à identifier cette peur, c’est jackpot !
Il suffira ensuite de faire la paix avec cette partie de toi.
C’est un travail de coaching verbal et corporel très simple et rapide que tu peux faire lors d’un workshop ou, si tu en connais un, avec n’importe quel élève qui a suivi ma formation pour devenir coach !
Il est à présent temps de répondre à la principale question que tu te poses depuis que tu as cliqué sur l’article : pourquoi parler de la confiance en soi “en novembre” ?
Hé bien, pour plein de raisons en fait ! En novembre :
- Tu as perdu ton teint doré de l’été et ça te mine un peu le moral (enfin, c’est ce que mes copines me racontent, parce que moi, j’ai rarement le visage pâle, haha !)
- L’humidité ambiante a tendance à favoriser ton frisotis naturel (ça, je peux en témoigner).
- La pluie te contraint dans tes choix de tenue vestimentaire (difficile d’avoir l’air élégante sous une cape de pluie, ça aussi, c’est du vécu).
Conseil n°2 : tu as ton propre pouvoir de décision !
C’est bien facile d’accuser la cape de pluie* ! Mais en soi, la cape de pluie, rien ne t’oblige vraiment à la porter (depuis que tu n’as plus 12 ans) !
Il existe des alternatives très sérieuses : le parapluie, la casquette, la capuche…
Tu as peur de ces alternatives ?
Option 1 : ta cape de pluie est plus confortable que ces alternatives, tu y trouves donc un bénéfice, garde ta cape de pluie et apprends à honorer sa présence à ses côtés. Grâce à cette cape de pluie, je suis protégée, merci la cape de pluie !
En parallèle, tu peux aussi décider que tu manques d’élégance… et c’est ok ! Cesse de lutter, tu vas juste perdre de l’énergie !
Option 2 : ces alternatives te tentent, mais tu as peur de manquer de loyauté par rapport à cette fichue cape de pluie.
Spoiler alert : la loyauté, c’est la tienne, elle t’appartient ! Et tandis que tu remballes ta cape de pluie dans un sac pour donner en mode désencombrement, tu peux décider de porter ta capuche avec panache ! Essaye, tu verras !
Option 3 : tu n’as pas d’avis, tu n’avais jamais pensé qu’on pouvait faire autrement. Tu mets une casquette. Voilà.
*Remplace le mot “cape de pluie” par ce que tu veux : un collègue, un ex, le fait que tu n’aies pas de diplôme, une histoire du passé que tu ressasses…
En novembre, on a aussi moins l’occasion de sortir, car les journées sont plus courtes.
Il fait souvent gris, on attrape la goutte au nez, on a froid.
Bref, novembre, ce n’est pas le mois le plus jojo de l’année !
Vive la dépression saisonnière, merci au manque de luminosité !
A moins que…
Conseil n°3 : tu as le pouvoir de changer tes pensées
A présent, réécris toutes ces pensées déprimantes au sujet du mois de novembre en pensées positives !
Allez, j’essaye avec toi :
En novembre, on a aussi moins l’occasion de sortir, car les journées sont plus courtes. = En novembre, on a aussi moins l’occasion de sortir et c’est merveilleux, parce que les nuits sont plus longues / ça permet d’allumer une boule à facettes à 17h / on n’est pas obligé de faire ses carreaux si souvent / … (complète la phrase avec ce qui te parle à toi).
Il fait souvent gris = ça permet de faire des shootings photos sans tenir compte du contre-jour ni de l’heure de shooting, on peut même faire des jolis clichés en noir et blanc (si tu es photographe, tu vois de quoi je parle).
On attrape la goutte au nez = on prend soin de soi, on utilise des mouchoirs tout doux, un baume qui sent bon et on se rappelle l’été tandis qu’on s’enfile des litres de sel de mer dans le pif.
On a froid = on ressort le châle, la bouillotte et le plaid bien cocoon !
En plus, le mois de novembre nous rapproche progressivement de Noël (et tu es libre de fredonner Mariah Carey toute l’année).
Dernier conseil bonus : et si tu réalisais ton plan d’actions perso pour un mois de novembre réussi ?
- Allumer ta bougie qui sent bon
- Faire un long soin pour tes cheveux (s’ils sont comme moi, anti-frisotis)
- Trier ta garde-robe pour ne conserver que ce que tu aimes (et garder ou non ta cape de pluie)
- Écrire des trucs sur des petits carnets
- Choisir des recettes sympas à tester le week-end
- Te renseigner sur tes prochaines vacances
- Penser à dire non si on t’invite déjà à une fête de nouvel an qui ne t’enchante pas
- …
Et si, en plus, tu cultives la pensée que novembre est le mois parfait pour peaufiner tes projets, faire un peu d’introspection et définir tes objectifs pour la fin d’année, novembre est soudainement devenu l’un des mois les plus fascinants de l’année !
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Laurence
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Et pourquoi se besoin de justifier que « si, on travaille et on ne fait pas rien » ? 😉
« Mais avant toute chose, je tiens à te dire que bien que je ne rédigeais plus rien depuis quelques mois, je ne restais pas les bras croisés pour la cause ! »
==> prochaine lettre sur le slow-life en attendant l’art de la procrastination 🙂
Excellente suggestion : slow-life + procrastination, tout un programme ! 😉