Coach : les dangers d’un métier non encadré (et comment reconnaître un coach crédible)

Le coaching, c’est merveilleux… quand c’est bien fait. En Belgique comme en France, le métier n’est pas réglementé. Aucune formation obligatoire, aucun contrôle des compétences. Clairement, n’importe qui peut se dire coach, sans diplôme, sans supervision, sans cadre.

D’après une enquête de la DGCCRF, 80% des coachs bien-être contrôlés entre 2021 et 2022 présentaient une anomalie : fausses qualifications, mensonge sur les compétences, tarifs excessifs, clauses abusives dans les contrats , ou encore confusion entre coaching et médecine.

Alors, comment distinguer un coach crédible d’un coach dangereux ? Et surtout, comment éviter les pièges d’un accompagnement mal encadré ?

Sommaire

Coach, un métier en plein essor… mais sans cadre clair

D’après l’ICF, le nombre de coachs aurait augmenté de 54% entre 2019 et 2022. Sur le papier, c’est une super nouvelle : les gens ont enfin envie de changer, de se libérer, de passer à l’action et de contribuer plus efficacement à aider les autres.

Mais… quand un métier grandit trop vite, il attire avec lui son lot de dérives sectaires. Le coaching n’étant pas réglementé en Belgique ni en France, n’importe qui peut, du jour au lendemain, s’autoproclamer coach.

Et c’est là que le danger du coaching commence. Quand on travaille avec l’humain et ses émotions, une parole ou une méthode mal employée peut blesser. Sans cadre, sans supervision ni expérience, on risque de faire plus de mal que de bien, même avec les meilleures intentions. Parce que le mode “bonne copine” ou “conseillère”, c’est sympa quand tu papotes au bureau ou avec tes potes, mais ce n’est pas du coaching !

Les dérives les plus fréquentes ?

  • Des fausses promesses de transformation garantie (ex : “transforme ta vie en 21 jours »).
  • Des pratiques commerciales malhonnêtes, des séances à prix exorbitants sans cadre clair, ni contrat.
  • Des coachs qui franchissent la limite avec la thérapie, en abordant des sujets pour lesquels ils ne sont pas formés (parfois sans s’en rendre compte, ils “creusent” sans être formés à accueillir ce qui peut en sortir).
  • Dans les pires cas, escroquerie, emprise et manipulation mentale.

Le problème, ce n’est pas le coaching. C’est le manque de cadre. Accompagner quelqu’un, ce n’est pas lui dire quoi faire. C’est lui redonner son propre pouvoir, dans un cadre sécure, respectueux et structuré. Et ça, ça demande une vraie posture, un vrai travail sur soi et la maîtrise des bons outils de coaching.

Les dangers d’un coaching mal encadré pour le client

Concrètement, voici ce qui peut se passer quand on se fait accompagner par un coach mal formé.

Des blessures personnelles projetées sur le client

Un coach mal formé ou en souffrance personnelle peut mélanger son histoire avec celle de la personne qu’il accompagne. Il projette ses croyances, ses blessures, ses propres schémas… et perd sa posture.

Résultat : les séances deviennent toxiques (pour les deux parties).

Si un coach te dit “j’accompagne uniquement le burnout/les femmes victimes de…/les mamans d’enfants à spécificités parce que je suis passée par là et je sais comment s’en sortir”, c’est potentiellement un warning !

Si cette personne n’est pas totalement valide aujourd’hui, le risque de projection est énorme.

Entre nous, si ton coach n’a pas vécu toutes les épreuves que ses clients ont vécu, c’est très une bonne nouvelle ! Après, on est d’accord : si ton enjeu est de parler de maternité ou d’entrepreneuriat, tu préféreras légitimement te tourner vers une coach qui a déjà des enfants ou une coach qui a vraiment monté un business.

Mais personnellement, je suis très nulle en golf et je peux pourtant mener des athlètes vers de plus hautes performances dans cette discipline. Tout comme il existe pas mal d’excellents gynécologues hommes qui sont merveilleux pour t’aider lors de ton accouchement.

En résumé, fais confiance à ton instinct mais méfie-toi des revendications trop fortes, telles que “je sais ce que tu vis car je l’ai vécu aussi avant toi”.

Une dépendance émotionnelle qui s’installe

Petit à petit, le client ne prend plus de décision sans l’avis du coach. Il perd confiance, son autonomie s’effrite, et la relation de coaching se transforme en relation de pouvoir.

Et certains coachs malhonnêtes en profitent pour influencer les choix personnels, professionnels ou financiers de leurs clients.

Mettons les choses au clair directement : un coach ne donne JAMAIS son avis ! S’il le fait, ce n’est pas sain, à fuir de toute urgence.

Je nuance cependant : si tu prends un coach business ou un coach sportif, il va nécessairement te donner un avis (et c’est aussi pour ça que tu investis dans ses services). Mais le coach de vie n’a pas d’avis à avoir sur TA vie. Jamais !

L’abus de vulnérabilité, l’escroquerie la plus courante

Certains profitent de la fragilité émotionnelle et du mal-être de leurs clients pour vendre des programmes à plusieurs milliers d’euros, promettant des « résultats immédiats » ou de l' »argent facile ».

Derrière ces belles paroles, il n’y a pas forcément de vraie formation, ni de compétences, juste une fraude.

Mon conseil ? Vérifie les avis Google, les infos sur sa société, tape son nom sur ChatGPT ou dans Google.

La culpabilisation déguisée

Quand il n’y a pas de cadre clair, le coaching peut rapidement déraper. Le client finit par se sentir “en échec” parce qu’il n’avance pas assez vite, ou qu’il doute.

Le bon coach, lui, avance à ton rythme. Il ne te juge pas, ne te pousse pas à aller plus vite.

Un glissement dangereux vers la thérapie

Sans formation dans le domaine de la santé mentale, certains coachs mal formés s’aventurent sur le terrain de la psychothérapie : traumas, deuils, phobies, anxiété, burnout…

C’est un terrain à risque, qui peut clairement aggraver l’état psychologique du client et retarder une prise en charge adaptée par un professionnel de santé.

Retiens aussi que tout traumatisme en cours (un burnout qu’on prend de plein fouet, une agression qu’on vient de subir, un deuil…) sont des sujets d’ordre médicaux. Seuls les professionnels de la santé peuvent t’accompagner au moment où tu le vis !

Le psychologue, le psychiatre, ton médecin généraliste. Mais pas ton coach.

Et puis, il y a un autre danger, plus subtil : sans code de déontologie clair, rien n’oblige un coach à garantir la confidentialité des séances.

Or, la sécurité émotionnelle et la confiance sont les bases d’un accompagnement sain. Même si cela peut sembler logique, pense donc à vérifier dans quelle mesure ce que tu vis en coaching est réellement confidentiel. Par exemple, les séances sont-elles enregistrées et disponibles ensuite en replay ?

Personnellement, s’il s’agit de coaching de vie, je trouve la pratique dangereuse : tu n’as pas besoin de te replonger dans le chemin (mais bien activer les décisions que tu as prises lors de tes séances). Ces retours en arrière peuvent réactiver des souffrances inutiles.

Alors, comment éviter ces risques ?

Avant de te lancer dans un coaching, fais preuve de vigilance : prends un temps pour observer, questionner et comparer. Voici quelques bons réflexes à avoir pour éviter les erreurs et surtout, repérer un vrai professionnel du coaching.

1. Vérifie la formation du coach

Demande-lui où, avec qui et comment il s’est formé.

Un coach professionnel a suivi une formation sérieuse. S’il évite la question ou reste vague, c’est un red flag. Un vrai coach parlera facilement de son parcours, de ses certifications et de sa supervision.

2. Questionne-le sur sa supervision

En parlant de supervision, un coach professionnel ne travaille jamais seul.

Il est supervisé, c’est-à-dire qu’il échange régulièrement avec un autre coach plus expérimenté pour travailler sur lui-même, surmonter ses propres difficultés et prendre du recul sur ses accompagnements.

C’est ce qui lui permet de garder la bonne distance en coaching et de ne pas projeter son vécu sur ses clients.

3. Interroge-le sur ses approches

Chaque coach peut avoir une approche différente. Certaines approches peuvent être très puissantes dans certains cas, et totalement inefficaces dans d’autres. Un bon coach sait expliquer pourquoi il travaille avec une méthode, et ce qu’elle t’apportera concrètement.

Chez Une touche de joie, on travaille notamment avec l’approche du coaching systémique, qui aide à désamorcer les blocages inconscients et à remettre en mouvement la personne dans sa vie personnelle et professionnelle.

4. Demande à voir le cadre

Un coaching sérieux s’appuie sur un contrat clair dès le départ : nombre de séances, tarifs, objectifs de l’accompagnement, contrat de confidentialité ou alors une facture claire… S’il n’y a aucun document ou que ton processus de transformation se fait “au feeling”, fuis.

Ce point-là, c’est exactement ce que la DGCCRF dénonce dans ses enquêtes sur le secteur du coaching : un terrain propice aux pratiques trompeuses et aux abus de confiance.

Par ailleurs, le métier de coach est soumis au RGPD (nous traitons des données à caractère sensible). Ton coach a-t-il une politique RGPD à jour ?

5. Écoute ton instinct (mais garde les pieds sur terre)

Le ton, le regard, la posture, le feeling… ça compte énormément. Si tu te sens jugé ou mal à l’aise lors du premier échange, tu as déjà ta réponse.

Mais la sympathie ne suffit pas : ce n’est pas parce qu’une personne te comprend qu’elle est formée ou compétente pour t’accompagner.

6. Méfie-toi des promesses trop alléchantes

“Résultats garantis”, “ta vie transformé  en 21 jours”, “deviens coach certifié en une semaine”… Ce sont des signaux d’alerte.

Le coaching demande du temps, de l’engagement, et une responsabilité de la part du coach, mais aussi (et principalement) de ta part. Aucune méthode ne peut te garantir une transformation, c’est un travail à deux, une coopération.

7. Vérifie la frontière entre coaching et thérapie

Un coach n’est pas là pour soigner ton passé, mais pour t’aider à te remettre en mouvement, aujourd’hui. S’il te parle de trauma sans avoir de formation de psychologue, il sort totalement de son rôle, sauf s’il est, comme les coachs issus de l’Académie de coaching Une touche de joie, formé en systémique. Mais dans ce cas, il ne parlera jamais de ton trauma, il aura juste besoin de savoir qu’il a existé, sans aucun détail.

Un coach avec une éthique n’aura aucun mal à recommander un suivi médical ou psychologique, s’il estime que son client en a besoin. C’est aussi ça, la responsabilité d’un véritable coach professionnel.

En résumé, avant de t’engager, prends le temps de questionner le coach sur son parcours et sur les méthodes qu’il utilise. Un coach digne de ce nom t’expliquera comment il travaille, avec qui et pourquoi. Chez Une touche de joie, on propose (et enseigne) une approche de coaching joyeuse, qui bouscule sans brusquer et redonne à chacun son pouvoir d’agir.

La méthode Une touche de joie aborde ce que peu d’approches osent relier : le conscient (ce que tu veux changer), l’inconscient individuel (ces schémas qui se répètent) et l’inconscient collectif (ta place, tes liens, ton sentiment d’appartenance).

Prête à expérimenter une approche de coaching qui te remet au centre de ta vie ?

Comment reconnaître un coach crédible ?

Facile. Un coach crédible, c’est quelqu’un de formé qui t’accompagne avec sérieux, humilité et cadre. Il sait rester à sa place et respecte ton rythme. En quelques points, il t’explique :

  • sa formation reconnue : RNCP, ICF ou autre école de coaching sérieuse.
  • sa supervision active: il travaille avec sur lui-même en continu un pair expérimenté
  • sa charte éthique : confidentialité, non-jugement, autonomie du client, relation d’égal à égal, ce sont les bases.
  • sa posture : pas de jugement, pas de promesses.
  • son cadre : contrat clair, objectifs mesurables, méthodologie structurée.

Généralement, tu n’auras pas de mal à trouver des témoignages et retours positifs de ses coachés. Et surtout, lors de vos échanges, tu te sens aux commandes, respecté et acteur de ta transformation. Un coach sérieux t’invite à penser par toi-même.

Les certifications de coaching existantes

En Belgique, le métier de coach n’est pas règlementé. Autrement dit, les écoles pour devenir coach sont privées.

En France, c’est un peu différent : le métier n’est pas non plus règlementé, mais certaines écoles délivrent un titre “Coach professionnel” RNCP, reconnu par l’État (comme la Haute École de Coaching) . C’est la seule reconnaissance officielle à ce jour.

Toutefois, il existe des accréditations (ICF, EMCC) reconnues dans le monde du coaching. Si ces certifications ne sont pas des diplômes d’État, elles garantissent une pratique encadrée, supervisée et éthique.

Les coachs formés au sein de l’Académie de coaching Une touche de joie (Belgique) et de la Coach Academy (France) reçoivent également une certification interne qui valide leur pratique réelle, supervisée et éthique. Ils sont formés à différentes méthodes de coaching et outils : coaching classique, coaching systémique, constellations familiales, actes symboliques,…

Ce n’est pas un diplôme d’État, mais c’est un gage de sérieux, de conscience et de méthode.

En bref, avant de choisir un coach, vérifie que sa formation soit certifiée, qu’il ait de la supervision, de la pratique, et un vrai accompagnement humain. Méfie-toi des certifications en 3 jours (on ne devient pas coach comme on apprend à faire des crêpes).

Si le sujet t’intéresse, découvre comment choisir ta formation en coaching et trouve celle qui te correspond vraiment.

certification coaching systemique

Une touche de joie : un coaching différent, éthique et transformateur

Chez Une touche de joie, le coaching est joyeux, humain et profondément transformateur.

En quelques séances ciblées de 45 minutes, on désamorce ce qui coince, on lève les blocages et on remet de la clarté là où tout semblait flou. L’objectif ? Initier un changement véritable et durable.

Le parcours de Laurence Cordonnier

Laurence Cordonnier, fondatrice d’Une touche de joie, a une double casquette : coach systémicienne certifiée et fondatrice de l’Académie de coaching Une touche de joie.

Diplômée d’HEC Liège (en management) et de la Haute École de Flandre Occidentale (en coaching), elle a accompagné plus de 2400 personnes à transformer leur vie, en individuel, en groupe et en entreprise.

Son truc à elle ? Aider les gens à retrouver leur puissance et leur feu intérieur.

Confiance en soi, reconversion professionnelle, gestion des émotions, leadership ou simplement se sentir mieux au quotidien, rien ne lui résiste. Elle coache avec clarté, méthode, humanité… et toujours une touche de joie.

Une méthode de coaching unique et reconnue

Laurence a créé une méthode de coaching qui porte bien son nom : la méthode Une touche de joie.

Une approche vivante, structurée et humaine, née de plus de dix ans d’expérience terrain. Elle combine plusieurs pratiques puissantes pour provoquer de vrais déclics et aider chacun à prendre sa place.

La méthode Une touche de joie est puissante car c’est la seule approche de coaching de vie et de développement personnel qui aborde les 3 dimensions transformatrices pour un humain :

  • le conscient (coaching classique, utile pour les prises de conscience, la découverte de soi, les décisions),
  • l’inconscient individuel (schémas qui se répètent, blessures récurrentes, frustrations…)
  • l’inconscient collectif (trouver sa place, confiance en soi, solitude, conflits familiaux ou en entreprise… grâce aux constellations familiales).

« C’est grâce à cette méthode de coaching de vie et de développement personnel que nous obtenons des résultats rapides, profonds et durables (et que nous réussissons à changer des vies, là où d’autres approches ont échoué) ! »

Ici, pas de théorie poussiéreuse, mais pas de solution miracle non plus. Juste une approche éprouvée, ancrée et profondément respectueuse de chacun, qui permet de créer un impact rapide.

Une académie qui forme les coachs de demain

Et parce que former les autres à coacher, c’est prolonger cette mission, Laurence a créé l’Académie de coaching Une touche de joie en Belgique et co-créé la Coach Academy en France. Des écoles qui apprennent à coacher par la pratique.

Dans l’Académie Une touche de joie, on observe, on expérimente, on ose, on se trompe, on apprend. Les élèves assistent à de vraies séances de coaching , pratiquent entre pairs et sont supervisés tout au long de leur cursus.

Chaque parcours de formation comprend :

  • un suivi de coaching individuel (plusieurs séances de coaching personnel)
  • des ateliers de groupe avec du coaching thématique (j’y vais mais j’ai peur, si j’avais une baguette magique, je m’autorise à réussir…)
  • des rdv entre coachs pour évoluer grâce à ses pairs,
  • des sessions de live coaching où Laurence coache chaque élève
  • un travail profond sur la posture de coach,
  • des temps de supervision et des retours personnalisés à chaque étape,
  • et un code de déontologie clair, qui garantit un coaching éthique et professionnel.

Chaque module est construit autour d’expériences concrètes, de mises en situation réelles et de supervision continue. Concrètement, les élèves apprennent à écouter autrement, à poser un cadre solide, à accompagner avec profondeur, rapidité et impact.

Le résultat ? Des coachs ancrés, compétents et confiants, capables d’accompagner sans manipuler, et de transformer les vies de leurs clients sans les brusquer.

Et bien sûr, à la fin du parcours, les élèves reçoivent la certification Une touche de joie ou celle de la Coach Academy : une reconnaissance interne qui atteste une pratique réelle, supervisée et éthique, fondée sur la méthode unique de l’académie.

Cette certification n’est pas un titre RNCP, mais elle a une vraie valeur professionnelle : celle de pouvoir coacher avec efficacité, intégrité, joie et responsabilité. Elle est également ton sésame pour prendre part à une joyeuse communauté de coachs professionnels, qui s’élèvent vers le haut et bénéficient de supervision continue.

Vers une future réglementation du coaching en Belgique ?

En 2025, le sujet fait (enfin) parler de lui. Aujourd’hui, n’importe qui peut s’autoproclamer coach, et cela pose un vrai problème de qualité, d’éthique et de sécurité pour le client. Les risques psychologiques sont sérieux.

En Belgique, plusieurs voix (dont celles de coachs professionnels et d’organismes de supervision) appellent à un encadrement légal du métier.

L’objectif ? Mettre en place des normes, un référentiel de compétences clair et un code de déontologie commun, pour garantir la qualité des accompagnements et protéger le consommateur.

Chez Une touche de joie, on n’a pas attendu que la loi s’en mêle :

  • notre méthodologie repose sur des pratiques éprouvées et éthiques,
  • notre certification interne valide la supervision, la pratique réelle et la déontologie,
  • et notre formation prépare déjà les coachs à ces futures exigences.

Autrement dit : quand la profession sera encadrée, les coachs formés chez Une touche de joie seront déjà prêts.

Tu veux te former au coaching dans un cadre clair ?

Tu veux devenir coach, mais pas n’importe lequel.
Tu veux devenir un coach qui transforme (réellement) des vies.

Tu veux apprendre à accompagner sans t’épuiser, à poser un cadre solide, à avoir un impact réel sur les autres. C’est exactement ce qu’on enseigne au sein de la formation au coaching Une touche de joie (Belgique) au au sein de la Coach Academy (France).

Tu l’as compris, ici, tu pratiques, tu maîtrises de nouveaux outils, et tu te confrontes à la vraie matière humaine : celle des émotions, des blocages profonds, des prises de conscience. Et surtout, tu apprends à coacher avec justesse et respect, de l’autre et de toi-même.

Prêt à découvrir ce que c’est, le coaching juste, efficace et joyeux ? Réserve ton appel et viens en parler avec un membre de l’équipe.


Quelques questions à se poser avant de suivre un coaching